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La recette du bonheur : une joie partagée est une joie décuplée

La recette du bonheur

Connaissez-vous la recette du bonheur?

Existe-t-il une recette facile, universelle, ou est-ce qu’elle est différente pour chacun de nous?

Amusant cette idée, non?

En fait, elle m’est venue après avoir regardé la bande annonce du film : “Les recettes du bonheur.”

Un passage de cette bande annonce plus particulièrement, d’ailleurs à la fin :

“-J’ai ajouté quelques épices.

-Pourquoi changer une recette qui a 200 ans?

-Peut-être que 200 ans, ça suffit, non?”

La vie change à chaque instant. Chez les bouddhistes, on parle d’impermanence.

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La recette du bonheur expliquée par nos parents

Il y a des recettes et nos parents nous enseignent celles que leur ont enseignées leurs parents qui eux-même les tiennent de leurs parents, … et c’est ainsi depuis la nuit des temps.

A chaque génération, les vieux trouvent que les jeunes sont mal éduqués, que l’on ne se comportait pas comme ça à leur époque… et si vous remontez à l’antiquité, vous trouverez là aussi des textes exprimant cet état de fait.

Le monde change, les recettes  du bonheur doivent-elles évoluer avec lui?

En fait, ce n’est pas parce que le monde change que la recette du bonheur doit évoluer avec lui : elle ne doit d’ailleurs pas évoluer avec lui, mais avec vous.

VOUS êtes le héros de votre vie, c’est à VOUS de décider ce que vous devez en faire et comment vous pouvez être heureux.

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Le bonheur et la santé

Beaucoup de gens vont me dire : le bonheur, c’est d’être en bonne santé!

Pour eux, il n’y a pas pire qu’être handicapé car l’état ne reviendra jamais à la normale.

Pourtant, il y a des gens qui sont en fauteuil roulant et qui sont heureux.

Il y en a même un qui n’a ni bras ni jambes et qui est certainement plus heureux que beaucoup d’entre nous.

Est-ce que vous connaissez Nick Vujicic ?

Je l’avais déjà présenté dans ce billet et je le trouve vraiment incroyable !

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Qu’est-ce que le bonheur?

Vous savez quoi?

Ces personnes que je connais qui n’arrivent pas à croire que l’on puisse être handicapé et heureux… eh bien elles ne croient pas non plus que Nick Vujicic puisse être heureux.

Il y a très longtemps, j’ai compris une chose sur la vie.

Une, ce n’est pas beaucoup, mais ça m’a marqué :

On ne voit chez les autres que ce que l’on a chez soi.

Je ne serai pas capable de voir le bonheur chez les autres si je ne sais pas ce que c’est que le bonheur?

Je pourrai me lamenter en me demandant pourquoi les autres sont heureux et pas moi, je pourrais également, comme je l’ai présenté dans l’article de cette vidéo, souhaiter changer de vie et prendre celle de mon voisin… sans me demander ce que deviendrait alors ma vie?

Ma vie, je la connais, je vis avec depuis que je suis né.

Si je n’arrive pas à être heureux avec, pourquoi est-ce que je serais plus heureux avec celle du voisin… alors que je ne la connais pas aussi bien que je connais la mienne?

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Le bonheur dépend-il de nos conditions de vie?

Nous avons tous nos avantages et nos défauts, nous avons tous des raisons d’être heureux… et des raisons d’être malheureux.

Nous avons tous des raisons de réussir… et des raisons pour échouer, seulement, avec ces mêmes raisons, ou des raisons équivalentes, certains y arrivent… et d’autres pas.

Certains persévèrent… et d’autres pas.

Certains tombent et se relèvent, alors que d’autres tombent… et se lamentent.

Pourquoi envier les autres alors que nous ne savons rien sur ce qu’ils ont enduré?

Pourquoi ne pas prendre notre vie en main et décider d’être heureux?

Revenons-en donc à cette question primordiale :

Le bonheur, c’est quoi ?

Est-ce qu’il y a une recette facile pour être heureux?

J’ai lu la phrase que j’ai intégré dans la jolie photo ci-dessous :

Qu’est-ce que vous en pensez?

Ou alors, peut-être que pour vous, le bonheur, ce serait plutôt ceci?

La recette du bonheur : une joie partagée est une joie décuplée
La recette du bonheur : une joie partagée est une joie décuplée

© Sir Garceau

Quoi que nous puissions dire où faire, l’Homme n’aime pas le changement, il préfère la sécurité : un bon job bien sûr, une famille/des amis, un toit sur sa tête, … Pour gagner en sécurité, nous cherchons, le plus souvent, à gagner plus d’argent, afin de ne pas avoir peur des lendemains difficiles, mais est-ce que, plus simplement, le bonheur, ce ne serait pas, comme dans la vidéo “Les recettes du bonheur” de mettre un peu d’épices dans une recette vieille de 200 ans? Pas trop pour ne pas gâcher la recette, mais juste un peu de changement pour vivre cette recette différemment?

Cet article a 5 commentaires

  1. Il y a pas de recette je pense , il y a des gens qui sont plus ou moins satisfait de leurs situation alors ils sont heureux, d’autres même en ayant tout ils seront toujours des malheureux car sont jamais satisfait de leurs situation même si il est exellente

  2. Bonjour Jean-Louis,

    J’aime beaucoup cette idée de rajouter des épices dans une recette qui a 200 ans !

    Parcontre « l’homme n’aime pas le changement » ? L’égo n’aime pas le changement ! L’homme ne se résume pas à l’égo. L’être véritable que nous sommes adore le changement puisque tout est changement en permanence dans le monde. C’est notre société surprotégée (en apparence) qui nous a inculqué le plaisir du confort. Mais ce n’est pas forcément à notre avantage, c’est clair !

    Merci à toi pour cette belle source d’inspiration en tout cas !
    Dorian

  3. Bonjour,

    personnellement la phrase qui me correspond est sans aucun doute :
    Une joie partagée est une joie décuplée.

    C’est ça d’être en fusion avec son entourage.

    Pierre

  4. allez un beau poème qui me touche que je souhaite vous partager aujourd’hui :
    Le train de la vie

    A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.
    Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous.
    Pourtant, à une station, nos parents descendront du train,
    nous laissant seuls continuer le voyage…

    Au fur et à mesure que le temps passe,
    d’autres personnes montent dans le train.
    Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants,
    même l’amour de notre vie.

    Beaucoup démissionneront (même l’amour de notre vie)
    et laisseront un vide plus ou moins grand.
    D’autres seront si discrets
    qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.

    Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes,
    de bonjours, d’au-revoirs et d’adieux.
    Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers
    pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes.

    On ne sait pas à quelle station nous descendrons.
    Donc vivons heureux, aimons et pardonnons !
    Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,
    nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage…

    Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
    Aussi, merci d’être un des passagers de mon train.
    Et si je dois descendre à la prochaine station,
    je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec toi !

    (Auteur inconnu)

    A bientôt
    Bises
    Sébastien

  5. Est-ce moi qui marche ce soir
    dans ma chambre ou est-ce le mendiant
    qui rôdait dans mon jardin
    à la tombée du jour ?

    Je regarde autour de moi
    et trouve que tout
    est semblable et ne l’est pas…
    La fenêtre était-elle ouverte ?
    Ne m’étais-je pas déjà endormi ?
    Le jardin n’était-il pas vert pâle ? …
    Le ciel étati bleu et clair…
    Et il y a des nuages
    et il fait du vent
    et le jardin est sombre et mélancolique.

    Je crois que mes cheveux étaient noirs…
    J’étais vêtu de gris…
    Et mes cheveux sont gris
    et je suis vêtu de noir…

    Est-ce là ma démarche ?
    Cette voix qui maintenant résonne en moi,
    porte-t-elle les rythmes de la voix qui était la mienne ?
    Suis-je moi-même ou suis-je le mendiant
    qui rôdait dans mon jardin
    à la tombée du jour ?

    Je regarde autour de moi…
    Il y a des nuages et il fait du vent…
    Le jardin est sombre et mélancolique…

    Je vais et je viens… N’est-il pas vrai
    que je m’étais déjà endormi ?
    Mes cheveux sont gris… Et tout
    est semblable et de l’est pas…

    Juan Jamon Jimenez

    Voilà à quoi votre poème me fait penser, Sébastien…
    Je l’avais trouvé dans « La force du silence » de Carlos Castaneda il y a quelques années… et comme vous pouvez le voir, il m’avait pas mal marqué.

    Bonne journée à vous !

    Jean-Louis

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